La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1543)

Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1541) -

Chapitre 14 : Une inscription indélébile -

Elle était en train d’enfiler un gode-ceinture pour venir m’enculer sur cette table… Il n’y avait pas d’autres termes, ce gode-ceinture, long et large me défonçait le cul, besognait mon anus, labourait mes entrailles, ravageait mon antre sans aucun ménagement, avec force et profondément jusqu’à la garde. Madame Marie ne semblait avoir aucune indulgence, aucune mansuétude. Elle me claquait sadiquement les fesses de ses mains tout en me les pinçant violement et me les griffant de ses ongles saillants, au passage, sur ma peau meurtrie. Et tout en me sommant d’ouvrir mon trou de salope en me précisant qu’il était bon pour moi d’ameublir mes chairs ainsi, avec un morceau de latex en forme de bite, pour mieux apprécier, le moment venu, une bonne et grosse queue, une vraie, bien juteuse et bien crémeuse. Il était révolu ce temps où j’adorais noyer mon désir fébrile dans la saveur d’un sexe, sentir un gland se poser sur ma rondelle quelque peu résistante puis apprécier ce membre glissant peu à peu entre mes fesses, dans l’intimité, la complicité, l’émotion bouillonnante de l’autre, un sexe viril s’insinuant, s’imposant, s’installant, s’engouffrant… jusqu’à la butée des couilles sur mes fesses… être assis sur cette rigidité immobile, bien empalé ! … Là, avec la cuisinière, impossible de contracter mes muscles, de les desserrer, les relâcher, les enserrer encore, j’étais simplement baisé et enculé sauvagement, sans désir réciproque, sans plaisir, sans poésie, seulement dans l’abandon et la toute-puissance de cette femme dominatrice, perverse er sadique. Seule chose qui me transcendait, l’aliénation, celle-ci m’emportait vers le total anéantissement, je m’en réjouissais. Celui qui allait me sauver de ces ruades incessantes, invasives et dévastatrices était Monsieur le Marquis ! Dès lors qu’Il entrait dans cette pièce, la cuisinière interrompait net ces activités perverses me laissant sur cette table, sans plus aucune consistance, les yeux rougis par l’effort et la contrainte, l’anus béant et à l’agonie.



- Est-ce que l’esclav’alex a su te satisfaire, ma chère Marie ?
- Bof ! Je ne l’ai pas assez malmené, cette petite pute… Ce chien mériterai d’être enculé toute la nuit ainsi et sans aucune interruption, avec les couilles serrées par une puissant élastique les étirant vers le bas et la tête dans une ruche pleine d’abeilles !... Bah, j’ai voulu tester sa résistance en usant de sa langue et de son petit cul de lope… Dans l’ensemble, cette chose a su me donner un peu du plaisir, mais peut mieux faire, à l’évidence… Mais, Monsieur le Marquis, je ne vous apprends rien… Ce chien soumis a encore beaucoup à apprendre… J’m’en vais lui apprendre, moi, à donner plus de plaisir, cette chose peut et doit faire mieux…, rajouta-t-elle en me cinglant une forte fessée d’une force incroyable qui claqua, fusa en fendant l’air dans une rare rapidité d’action …
- Bien, je vais commencer par m’en charger ! Je sais qu’entre tes mains, Marie, il sera également bien éduquer car je sais que je peux toujours compter sur ton expérience pour peaufiner mes dressages… Aller, je récupère Ma chose…

La chose, comme avaient dit Madame Marie et le Châtelain, était maintenant à quatre pattes, tenue fermement par sa tignasse et devait suivre le Maître à l’étage ! De nouveau j’étais installé à plat, dos sur une table, plus étroite que celle d’en bas. Le Noble m’attachait chevilles et cuisses, bras et poignets.

- Ne bouge pas, je reviens ! me lançait-Il d’un air amusé.

Effectivement tout mouvement était simplement impossible. J’étais heureux d’attendre, satisfait d’être allongé, l’esprit vide, un vide sidéral m’empêchant de réfléchir, de me questionner. J’étais juste dans le néant, n’ayant sous les yeux qu’un désert de sable sans dune ... Et puis le Noble revenait, mais cette fois il était accompagné d’un homme d’apparence joviale, l’air réjoui. Petit, avec quelques rondeurs, les yeux bleus, des lunettes en demi-lune posées sur le bout de son nez.
Etrangement, il ne s’intéressait ni à mes génitaux, ni à mon cul, mais seulement à mon pubis désormais parfaitement glabre. Il prenait des mesures depuis la base de mon sexe, jusqu’à mon nombril, puis entre les deux tubérosités ischiatiques. Là encore, j’étais dans l’incapacité de comprendre ce qu’il se tramait…

- Je veux que cela ne se voie pas trop !, lui rappelait le Maître
- J’ai bien noté Monsieur le Marquis. Vous ne verrez, rien n’apparaitra sous un sous-vêtement de type boxer. En revanche, si vous lui faites porter des tailles basses, le haut des lettres se verront.
- Parfait si c’est ainsi, Gabriel !
- Je vous ai préparé plusieurs esquisses, à Vous de me dire quelle écriture vous plait le mieux, Monsieur le Marquis.

Monsieur Gabriel, après avoir tendu des feuilles de calque au Noble, que celui-ci examinait avec une attention particulière, désinfectait mon pubis avec une compresse imbibée de Biseptine

- Cette police me convient parfaitement !
- Excellent choix Monsieur le Marquis, nous allons pouvoir le placer ici, à deux centimètres au-dessus de la racine de la nouille, bien centrée par rapport au nombril.

Je réalisais soudainement… Monsieur le Marquis allait me faire tatouer ! Je restais au départ sans réaction, puis un frisson me parcourait le corps : Angoisse, peur, émoi, effervescence, panique ou surexcitation ? Mais après réflexion, sans connaitre encore le dessin choisi, je considérais ceci tel un rite initiatique, une étape dans ma nouvelle vie d’esclave. « Un Maître fait bien tatouer son chien » me disais-je, comme si j’avais besoin de me rassurer…

- Regarde salope ce que je t’ai choisi !

Le Maitre me montrait un calque sur lequel était inscrit sur 2 lignes : ‘esclav’alex, propriété du Marquis d’Evans’ en de très belles lettres calligraphiées…

- Je vais te faire graver à jamais, là, sur ton pubis, ce tatouage, pour que tu l’aies sous les yeux, pour que tu n’oublies jamais ce que tu es, ce qu’est ta condition près de moi, pour que ceux qui le voit comprennent immédiatement ce statut qui est le tien désormais.


Monsieur Gabriel décalquait le motif sur ma peau fraichement rasée. Avec soin, il tenait compte des cotes prises, des repères tracés précédemment. J’avais un peu peur de souffrir, mes craintes s’avéraient exactes, à chaque fois que le tatoueur essuyait l’encre qui coulait sur ma peau, ça brulait comme l’enfer… une douleur brute me permettant de juger à quel point ce tatouage m’était indispensable, de me connecter avec ce tatouage, de sentir sa réalisation et de le laisser devenir une partie de moi. Après une heure de travail minutieux et alors que Monsieur Gabriel finissait son œuvre calligraphique, le Maître me montrait une photo :

- Regarde salope, cette photo que j’ai retrouvée dans Mes archives !

L’image montrait un sexe encagé et une inscription tatouée sur un pubis rasé, que je ne parvenais pas à lire distinctement.

- Ainsi ton père était marqué, comme tu l’es maintenant !…

Cette affirmation m’assommait littéralement… Les informations distillées, tous les jours un peu plus, mais toujours avec parcimonie, par Monsieur le Marquis, concernant mes parents, étaient à la fois des électrochocs, des secousses terribles, de l’embarras, mais aussi des émotions, des exaltations et une certaine forme d’enfièvrement. J’étais sur les traces de mon père, comme lui, j’apprenais à marcher près du Maître, comme lui j’apprenais à me soumettre ! Alors, s’installait une forme de fierté parce qu’il me fallait être ce digne fils, l’imiter, suivre son exemple, être fort et courageux comme il avait dû l’être ! Le Châtelain complétait Son propos qui me marqua à jamais :

- … comme tu l’es maintenant !... Enfin pas tout à fait ! Car il y a une différence de taille ! Regarde bien sur cette photo, il y a accolées à son pseudo d’esclave, comme sur celui de ta mère d’ailleurs, il y a Mes nobles Initiales ‘MDE’… Oh, je vois à ta tête que tu t’interroges ! Alors je vais t’expliquer très clairement : Très peu de Mes esclaves ont la suprême récompense, le suprême honneur de porter Mes nobles Initiales ‘MDE’.
On peut les compter sur les doigts d’une seule main parmi tout Mon Cheptel. Il faut en réalité des années et des années d’éducation et de dressage pour mériter et y parvenir. Et pour celles et ceux qui y arrivent, c’est le Saint Graal le plus absolu ! Et tes parents étaient des esclaves si parfaits qu’ils étaient arrivés dans cette élite d’esclavage, méritant amplement d’être des esclaves MDE accomplis… Alors regarde bien ce qui est gravé aujourd’hui sur ton corps servile : ‘esclav’alex, propriété du Marquis d’Evans’ sur 2 lignes, permettant un jour peut-être de faire rajouter après esclav’alex, Mes Initiales ‘MDE’, et ainsi si ton destin le décide par le mérite, il se pourrait qu’il te soit tatouer un jour ‘esclav’alex MDE’… Mais le chemin risque d’être long, très long et sinueux avant cette éventuelle et future réalité…

J’étais sans voix ! D’abords parce que j’apprenais que mes parents faisaient partie d’un petit nombre d’esclaves exceptionnels considérés par le Maître comme des élites dans la catégorie de la servitude la plus absolue. Ensuite, qu’Il n’excluait pas l’éventualité qu’un jour j’arrive au même niveau d’esclaves parfaits comparable à celui de mes parents. Une chose était en tout cas certaine, j’étais bien décidé à suivre le chemin tracé par mes parents que je comprenais décidément de plus en plus… Perdu dans mes pensées, elles furent coupées par Monsieur Gabriel qui prit la parole :

- Voilà mon travail est terminé, Monsieur le Marquis… On va attendre la totale cicatrisation pour savoir s’il y a des retouches à faire, mais pour l’heure, il faut laisser sécher à l’air libre et dans deux heures, nettoyage à la Biseptine. Ensuite, cette grasse pommade cicatrisante pendant deux semaines, matin et soir, avec pour protection un vieux et large slip en coton… Et surtout pas de soleil… ni de bain pendant ces quinze prochains jours !
- Merci mon cher Gabriel ! Je vous raccompagne jusqu’à mon bureau, il y a là une douce et belle créature qui vous attends, une esclave femelle que vous pourrez utiliser à votre guise, comme d’habitude pour …

Je n’entendais pas la suite, Monsieur le Marquis et son hôte venait de quitter la pièce, me laissant ainsi, maintenu sévèrement attaché...

Deux heures plus tard, j’étais chez moi. Un long moment je m’étais regardé, en long et en large et en travers, sur toutes les coutures, devant ce grand miroir de ma salle de bain. D’abord avec ce slip kangourou d’un autre temps, difforme, trop large, trop haut, que Madame Marie m’avait ordonné de mettre avant de quitter le Château, slip sans doute porté avant moi, par d’autres soumis … « Tu ne ressembles plus à rien ! » m’étais-je dit. Puis je m’étais mis nu, m’étais senti métamorphosé, sans un poil sur mon corps, avec cette marque indélébile sur mon bas ventre, cette cage de chasteté, et ces stries du fouet encore bien présentes sur ma poitrine et dans le dos. « Tu ressembles à un esclave ! » m’étais-je repris avec un peu de dignité. J’étais maintenant en bas, allongé confortablement sur mon canapé, avec en main le livre de Bernard Minier : La Chasse ! Jusqu’ici ce bouquin me passionnait, aujourd’hui, je le trouvais sans saveur. Peut-être me fallait-il admettre que je bouquinais sans lire réellement. J’avais la tête ailleurs, l’esprit occupé par des images sulfureuses, mais aussi, par la vision de cet homme qu’était Monsieur le Marquis. Il m’hypnotisait réellement, me fascinait bel et bien. Ses propos, Son charisme, Son magnétisme, Son autorité naturelle m’enfiévraient, me surexcitaient. Il ne montrait jamais un signe d’agressivité mais s’imposait naturellement. Je méditais encore lorsque Louise frappait à ma porte :

- Bonjour Monsieur Alexandre, je ne vous dérange pas ?
- Comment allez-vous Louise ?
- Quelques douleurs ici ou là mais que voulez-vous, avec l’âge on ne s’améliore pas, on n’est pas comme le bon vin, me répondait-elle en souriant et en haussant les épaules.
- Que puis-je pour vous ma chère Louise ?
- Et bien je voulais vous montrer ces papiers que j’ai reçus de la caisse de retraite agricole. On vient de s’apercevoir avec Charles que s’il partait en retraite dans deux ans, et non cette année, nous pourrions avoir 10 % de rente mensuelle supplémentaire. Alors, je voulais voir avec vous si vous pouviez continuer à le garder encore comme salarié pendant ces deux prochaines années ?
- Mais bien sûr Louise ! Aucun souci, Je vous adore trop, tous les deux, pour vous refuser cela !, répondis-je spontanément, même si je savais que ces changements allaient bouleverser mes projets professionnels de reprise d’activité.
- Oh que vous êtes bon Monsieur Alexandre, me disait Louise en me sautant au cou et en m’embrassant généreusement.

Louise me tenait tendrement dans ses bras, un sourire aux lèvres mais le regard ailleurs, quelque peu dubitatif… Je sentais qu’elle avait besoin de me dire quelque chose. Elle se décidait enfin :

- Vous l’avez revu ?
- Qui donc ?
- Eh bien, Monsieur le Marquis !
- Oui Louise, je l’ai revu à plusieurs reprises.
- Est-il toujours aussi bon et généreux avec vous comme Il l’a été avec vos parents, Monsieur Alexandre ?
- Monsieur le Marquis d’Evans est un homme extraordinaire, ma bonne Louise. Près de lui je trouve l’épanouissement, la sérénité, l’apaisement et le bonheur.
- Rien ne peut me faire plus plaisir que ce que vous me dites Monsieur Alexandre… Vous le méritez bien…

Louise desserrait ses mains de derrière mon dos mais restait planté près de moi, avec cette fois-ci le regard incisif.

- Cette conversation restera entre vous et moi, Monsieur Alexandre, je n’en parlerai ni à Charles, ni à quiconque. Je vous en fais promesse, et vous savez que je tiens toujours mes engagements.

Effectivement je savais. Elle reprenait :

- Je suis heureuse de vous sentir heureux. Vous êtes un être exceptionnel Monsieur Alexandre, votre douceur est celle de Madame votre mère, votre gentillesse celle de Monsieur votre père. Je vous embrasse encore, parce que je vous aime comme si vous étiez mon propre fils… Oh pardon Monsieur Alexandre, je m’emporte…

Louise repartait en boitillant, moi m’asseyait sur mon canapé, en prenant ma tête à deux mains pour tenter de réfléchir. Pourquoi avais-je dit oui à Louise et Charles… mais comment aurai-je pu leur dire non ? Ce départ en retraite retardé allait occasionner un certain bouleversement dans ce que j’avais imaginé. Je devais réinventer mon avenir professionnel, tout revoir, tout reconsidérer. Mais à ce stade, j’étais incapable d’y voir clair, parce qu’épuisé physiquement, accablé mentalement, simplement éreinté par cette soumission et cette mise en esclavage ! Soudainement, une idée de génie me traversait l’esprit… « Oui, Lui saura te conseiller ! » pensais-je. Alors aussitôt réfléchi, aussitôt écrit, par mail j’expliquais la situation à Monsieur le Marquis et Lui demandait Son aide. Une heure après, je recevais une réponse, une bien courte réponse, presque laconique, mais si constructive.

« Pourquoi salope ne recherches-tu pas un travail à mi-temps ? »

Brève réponse, mais idée géniale… De ce pas, j’allais sur LinkedIn, mettre en ligne mon curriculum vitae...

(A suivre…)

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